Je me meurs de cette vie en société,
Je vais sortir, aller avec les miens,
Les artistes, les créateurs, les rêveurs,
Je suis dans leurs yeux, je voie la beauté sans l'atteindre;
A travers ce mur social, de vie sans âme,
Mon or est la brillance d'une goutte au soleil
dans un jardin vivant
Le bruit du dernier bourdon mourant dans ma main,
Un monde fantôme qui verra sa fin bientôt,
Je suis triste d' enterrer ces abeilles,
Je suis anéantie de les voir tous mourir
Mes amis qui peuplaient la terre avant moi
Seront tous mort ou en cage après moi.
qu'avons nous tous fait ? pourquoi tant de fantômes
me murmure leurs au delà ?
Je reviens à la terre et l'air les éléments naturel
Isabelle, Mirabelle, Maïa