Textes sur l'été

Si,on essayait de puiser dans nos idées aussi,ce ne serait pas trop mal Textes sur l'été 695455

Bon et bien comme l'été à commencer depuis une vingtaine de jours,nous pourrions trouver des textes ou des chansons qui s'y prêtent et ce n'est pas ce qu'il manque Textes sur l'été 810918

Bon allez,je commence Textes sur l'été 105352

"Mon Amie, au mois de Mai
Vient le moment où je renais
Mon Chagrin s'en est allé
Soufflé par tous les Vents Sacrés

Vive la Vie, je T'aime fort
Chaque jour, c'est comme un Trésor
Je t'invite au Voyage
Dans mon Linceul lit-cage
Quand revient l’été

Mon Amie, mon Inspirée
Dans tes Parfums viens me bercer
Me Voici, le Cœur léger
Mère Nature nous a gâté

Vive la Vie, je T'aime fort
A jamais, tu es mon seul Trésor
Tu as mille fois mon Age
Mais j'ai plus de Courage
Quand revient l’été

Mon Amie, mon Échappée
Belle comme les hommes au cœur de femmes
De l'Amour tu sais donner
A qui vient danser dans tes Flammes

Vive la vie, je t'aime fort
A jamais, tu es mon seul Trésor
Tes milliers de visages
Ne livrent qu'un Message
Quand revient l’été

Et Vive la Vie, je t'aime fort
A jamais, tu es mon seul Trésor
Tes milliers de Visages
Ne livrent qu'un Message
Quand revient l’été

Mais par Amour, je dois rentrer
Nous ne verrons pas nos Fleurs faner
Ni l'ennui nous dévorer
Car l'Automne vient te chasser
Je te dis Adieu à Jamais...

Et Vive la Vie, je T'aime fort
Chaque jour, je Renais encore
Car mon plus grand Pêché
Serait de Regretter
Adieu à Jamais, Jamais, à Jamais, non Jamais...

Adieu à Jamais..."

Quand revient l'Eté
NAJOUA BELYZEL

Magnifique !!!!!! merci !

J' avais quelques phrases qui me trottaient dans la tête ce matin, peut être le début d' un poëme !!

à suivre ....

Invité

Berger d’abeilles

François Fabié

Le doux titre et l’emploi charmant :
Être, en juin, un berger d’abeilles,
Lorsque les prés sont des corbeilles
Et les champs des mers de froment ;

Quand les faucheurs sur les enclumes
Martèlent la faux au son clair,
Et que les oisillons dans l’air
Font bouffer leurs premières plumes !

Berger d’abeilles, je le fus,
A huit ans, la-bas, chez mon père,
Lorsque son vieux rucher prospère
Chantait sous ses poiriers touffus.

Quel bonheur de manquer l’école
Que l’été transforme en prison,
De se rouler dans le gazon,
Ou de suivre l’essaim qui vole,

En lui disant sur un ton doux
Pour qu’il s’arrête aux branches basses :
» Posez-vous, car vous êtes lasses ;
Belles abeilles, posez-vous !

» Nous avons des ruches nouvelles
Faites d’un bois qui vous plaira ;
La sauge les parfumera :
Posez-vous, abeilles, mes belles ! »

Et les abeilles se posaient
En une énorme grappe grise
Que berçait mollement la brise
Dans les rameaux qui bruissaient.

» Père ! criais-je, père ! arrive !
Un essaim ! » Et l’on préparait
La ruche neuve où sans regret
La tribu demeurait captive.

Puis, sur le soir, lorsque, à pas lents,
Du fond des pâtures lointaines
Les troupeaux revenaient bêlants
Vers l’étable et vers les fontaines,

Je retrouvais mon père au seuil
Comptant ses bêtes caressantes,
Et lui disais avec orgueil :
» Toutes les miennes sont présentes ! »

Le doux titre et l’emploi charmant :
Être, en juin, un berger d’abeilles,
Lorsque les prés sont des corbeilles
Et les champs des mers de froment !

François Fabié, Fleurs de genêts

Superbe, cette poésie !
Il est vrai que ce n'est pas sans me renvoyer à de beaux souvenirs d'enfance.
Les essais d'abeilles qui noircissaient un certain endroit de Lozère au mois de juin, au dessus des rocs de schiste.
Les tilleuls dont les fleurs bruissent et bourdonnent tant les abeilles les fréquentent en ces quelques journées d'intense activité mellifère.
Les premiers andins sur les prairies, de beaux fourrages en perspective.
Les troupeaux de "biques" et de "beligues" ah, ça oui, j'aime aussi !
Oh que oui, l'école est une prison lorsque les journées sont les plus longues, et très souvent aussi les plus belles.
Oui, ce texte est magnifique !

Invité

Isasza a écrit:: Superbe, cette poésie !
Il est vrai que ce n'est pas sans me renvoyer à de beaux souvenirs d'enfance.
Les essais d'abeilles qui noircissaient un certain endroit de Lozère au mois de juin, au dessus des rocs de schiste.
Les tilleuls dont les fleurs bruissent et bourdonnent tant les abeilles les fréquentent en ces quelques journées d'intense activité mellifère.
Les premiers andins sur les prairies, de beaux fourrages en perspective.
Les troupeaux de "biques" et de "beligues" ah, ça oui, j'aime aussi !
Oh que oui, l'école est une prison lorsque les journées sont les plus longues, et très souvent aussi les plus belles.
Oui, ce texte est magnifique !

à son auteur.

Textes sur l'été 3348629222

à toi pour aimer le texte.

Vraiment beau et campagnard comme j' aime !! merci, je le relirai pour mieux visionner, et pourquoi pas germer des idées visuelles pour montage photo.

Textes sur l'été 603329870

Effectivement, ce superbe texte pourrait donner lieu à un superbe diaporama, ou montage photos.
A nous de trouver par contre de beaux éléments pour l'illustrer à sa hauteur.

Merci pour ces très jolis textes Textes sur l'été 926106

Invité

pour illustrer ce poème

Invité

Douceur estivale

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Publié le 14 mars 2014 par Vette de Fonclare

Plage Méditerranée

Le mistral s’est calmé et la mer dodeline,
Aussi douce qu’un lac sous la brise d’été.
Verte et bleue et dorée, la Méditerranée,
Etirant ses longs flots aux couleurs arlequines,

S’en vient lécher la plage où gisent étalés
Des milliers d’humains à la peau écarlate.
Le soleil est d’aplomb et la mer est si plate
Qu’on la dirait de plomb sous le ciel pommelé

Par des nuages blancs comme des moutons gris.
L’heure est à la détente, et la mer qui ronronne
Chatoie étonnamment de coloris d’automne
Rutilants et cuivrés, vraiment rares ici

Par un jour de juillet. Dans le ciel des gabians
Criaillent tant et plus comme un vol de crécelles.
Une nuée d’enfants courant à tire d’ailes
Font gicler l’eau mousseuse éclaboussée d’argent

Et leurs rires perlés ricochent sur les flots.
Il fait bon, il fait beau. La plage est recouverte
De milliers d’humains, entassés et à perte
De vue et de bon sens, et ils sont beaucoup trop…

Invité

pour illustrer le poème

GABIAN : Goéland, ou gabian sur les côtes de la Méditerranée, est un nom vernaculaire ambigu désignant les espèces d'oiseaux marins de la famille des laridés appartenant au genre Larus ainsi que d'autres espèces de cette famille appartenant à d'autres genres. Sur les côtes européennes, l'espèce la plus commune est le Goéland argenté (source WIKIPEDIA)

Goutte de lumière

Si vous saviez ce qu'il y a

Dans l'œil sans fond d'un petit chat,

Qu'il soit jaune, vert ou lilas

Vrai, vous n'en reviendrez pas !

On y voit des oiseaux de lune,

Des palais de laine et de lait,

Le sphinx émergeant de ses lunes,

Et des ballets ultraviolets.

Sur des bassins d'une eau sans rides,

S'épanouit la fleur de lotus

Tandis qu'une main translucide

Peint des soleils sur papyrus.

Tout l'univers est reflété

Dans cette goutte de lumière

Qui ouvre sur l'éternité

Ainsi qu'un hublot sur la mer.

Marc Alyn

Invité

beau texte.

flower

Invité

Aube

Arthur Rimbaud

J’ai embrassé l’aube d’été.

Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route
du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes
se levèrent sans bruit.

La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.

Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.

Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq.
A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre,
je la chassais.

En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu
son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.

Au réveil il était midi.

Arthur Rimbaud, Illuminations

🌈🏞

Des cours d'eau, la Nature, et la lumière !

sunny

Invité

A Jacques

Ondine Valmore

Durant les longs étés, quand la terre altérée
Semble se soulever, blanchie et déchirée,
Pour chercher vainement un souffle de fraîcheur
Qui soulage en passant son inquiète ardeur;
Quand la moisson jaunie, éparse, échevelée,
Se penche tristement sur sa tige brûlée,
Qu’il est doux, sur ces champs tout à coup suspendu,
De voir poindre et grandir le nuage attendu !
Qu’il est doux, sous les flots de sa tiède rosée
De voir se ranimer la nature embrasée,
Et de sentir la vie, arrêtée un moment,
Rentrer dans chaque feuille avec frémissement !
Dans ces vallons étroits, profonds, et solitaires,
Où plonge un jour douteux pesant, plein de mystères ;
Où l’ombre des sapins couvre les champs pâlis,
Loin de l’air et du ciel terrains ensevelis;
Qu’il est doux, au milieu de la sombre journée,
De voir éclore enfin une heure fortunée,
De voir l’astre de feu, que le mont veut cacher,
S’élevant glorieux, dominer le rocher !
Ouvrant sa gerbe d’or sur ce côté du monde,
De ses jets lumineux il l’échauffé et l’inonde,
Et l’aride vallon, semé de mille fleurs,
Resplendira bientôt de divines couleurs!

Ondine Valmore, 1851, Cahiers (Gallica)

Des textes à découvrir, ou redécouvrir.

Un texte très inspiré, et fort juste.
Pourquoi donc, cette auteure ne fut-elle pas plus connue ?

Invité

Ondine Valmore est une poétesse et femme de lettres française née à Lyon le 1ᵉʳ novembre 1821 et morte le 12 février 1853.

Invité

COCCINELLE

Coccinelle, demoiselle
Où t'en vas-tu donc ?
Je m'en vais dans le soleil
Car c'est là qu'est ma maison.
Bonjour, bonjour, dit le soleil,
Il fait chaud et il fait bon.
Le monde est plein de merveilles
Il fait bon se lever tôt.

Edmond ROSTAND

Invité

Ah, c'est superbe, d'accompagner cette belle poésie, à son illustration non moins superbe.

J'avoue que pour a part, j'éprouve une certaine tendresse pour Ondine Valmore.

Invité

Invité

L’été,

C’est la pelouse à tondre
Et la chaleur qui fait suer.

Mais …

C’est aussi les fleurs
Et les bains de soleil !

L’été, C’est l’humidité écrasante
Et les insectes répugnants.

Mais …

C’est aussi les baignades
Et les jolis papillons !

L’été,

C’est le jardin à cultiver
Et les orages en juillet.

Mais …

C’est aussi les légumes frais à savourer
Et la musique des oiseaux dans les arbres !

L’été,

C’est les enfants et les cris.
C’est la maisonnée, jamais silencieuse

Mais …

C’est aussi les vacances en famille
Et la visite tant attendue !

L’été, c’est péché !

Oui, mais …
C’est un péché doux et si difficile à confesser !!

Texte de Lynda Déry

L'été, je dirais aussi,
ce sont quelques nouvelles lignes du paysage environnant, les repas sur la terrasse, l'eau qui frémit sur le bassin.
Les longues brassées, lorsque le soleil est déjà descendu sous la ligne de l'horizon empourpré.
Ce sont les figues dont on pince l'extrémité sous la branche qui l'a porté durant des mois. On en caresse la peau si douce et tiède des rayons caniculaires. On les porte en bouche, en éclate la chair rose aux milles graines et en jaillit le nectar divinement sucré et parfumé.
L'astre lunaire s'élève dans le ciel, sur un ciel qui lentement s'assombrit, d'autres têtes d'épingles de lumière scintillent sous la voute infinie. Des collines environnantes surgissent des reflets, des lumières et des échos, ceux de la fête en ville que dominent encore les hululements de l'effraie, les chants des grillons, et plus lointains, les coassements de quelques batraciens.
Un dernier bain dans les eaux du bassin sous l'air qui commence à se rafraichir, quelques ondes sous les bras, et la fatigue gagne. Il est devenu si doux de tomber de sommeil en été, entre le rideau des bambous, le figuier, les roches calcaires et le ciel érable à petites feuilles.

Invité

Le crépuscule illumine la fin du jour d'immense flammes, les cirrus s'embrasent, sous un ciel qui subitement, prend une teinte de jade.
Les rafales du vent du nord s'atténuent, la chaleur de la journée s'exhale par toutes les failles et les replats des pierres et des roches calcaires.
Les bruissements des grillons imprègnent l'air qui s'assombrit.
Les eaux de la cascade imposent plus nettement leur clapotis aux oreilles assagies.
Les dernières lueurs de l'extrémité du jour détachent encore confusément le sillage des pipistrelles sous un ciel s'obscurcissant.
Qui donc ici gratte, et s'enfuit à quelques uns de mes propres pas ?
"Un chuchotement, ou est-ce un chuintement, est-ce une grignotage, ou de petits cris ?
A quelques lieux, la ville bourdonne encore, à la lisière de laquelle s'échappent des échos musicaux.
Dans moins de deux quatre heures, le ciel à nouveau s'éclaircira, le Samzon deviendra serti des premiers rayons cuivrés du grand disque solaire. L'air viendra ensuite à rapidement perdre de sa limpidité et les contrastes sur les falaises des premières gorges viendront à s'estomper.
Les stridulements incessants des cigales accompagneront très rapidement les écrasantes chaleurs.
La lumière tombe sans aucune nuance et transparence du plus haut de ce ciel bleu pâle."

L ÉTÉ EN PROVENCE

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Invité

Merci Marie-Jo pour ce joli texte.
Textes sur l'été 568864717

Encore voilà un autre qui m à plus aussi.........à condition que les escargots ne soient pas de la partie

Invité

Très joli et bien illustré
flower

Parlez-moi des escargots !

J'en ramasse tout les jours à pleines brassées, de ces escargots agglutinés le long du tronc d'un petit olivier.
C'est délicatement qu'il faut les ramasser autrement, ils plongent aussitôt dans les feuilles et les herbes sèches.
A la prochaine pluie un tant soit peu consistante, ils ressortirons pour partout s'insinuer aux ouvertures et aux entrées de la maison.
Sous les pieds, dans l'obscurité de la nuit retrouvée, ils craqueront sous les chaussons.

Invité

Isasza tu es une véritable poétesse Textes sur l'été 320248

oui ! ces escargots qui se mettent dans les plantes,
la galère pour mon jardinier de mari.

Textes sur l'été 568864717

Invité

L’Été

Théodore de Banville

Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.
Il brûle tout, hommes et choses,
Dans sa placide cruauté.

Il met le désir effronté
Sur les jeunes lèvres décloses ;
Il brille, le sauvage Été,
La poitrine pleine de roses.

Roi superbe, il plane irrité
Dans des splendeurs d’apothéoses
Sur les horizons grandioses ;
Fauve dans la blanche clarté,
Il brille, le sauvage Été.

Théodore de Banville (1823-1891)

Textes sur l'été 58189

En attendant, je me bat avec ces petites bestioles qui voletent, toujours en quête d'une pièce de votre peau dénudée.
Furtivement, on les remarque, avant que très rapidement, elles ne vous échappent à nouveau sous le regard.
Tape-moi l'oreille, j'en ai surpris une à très légèrement bourdonner avant de quitter un bout de mon front.
C'est sur l'un des mollets que me met à frapper, après que le dessus de ma main n'ai eu à endurer le début d'un sang de festin.
L'air est brassé, il n'empêche qu'un point sombre à nouveau s'est posé sur un bout de ma peau dénudé.
C'est à la raquette électrique que je m'en vais neutraliser à présent l'intransigeant gourmand de mon sang.

Théodore de Banville,
un auteur qui me renvoie si bien à le lire à nouveau vers mes jeunes années d'écolière.

Invité

Je n'ai pas encore essayé la tapette électrique.
Je dois avouer que les moustiques ne viennent pas chercher mon -mauvais sang- Textes sur l'été 695455

Comme tu le dis si bien, difficile de les faire partir à la main ou des deux mains, Textes sur l'été 320248

Si tu as trouvé l'arme fatale c'est très bien.

Textes sur l'été 515578

C est la 1ère année que je vois autant d escargots dans le jardin
Ils m ont un bonsaï oranger qui était en fleurs et que j ai rapporté de la bambouseraie d' Anduze.
Une cytise toute fleurie,elle aussi, leur a servi de nourriture
Un oranger du Mexique aussi etc etc

Bonne nuit caniculaire ( je ne sais si ce mot existe )

Textes sur l'été 3717254144

Invité

marie-jo a écrit:: C est la 1ère année que je vois autant d escargots dans le jardin
Ils m ont un bonsaï oranger qui était en fleurs et que j ai rapporté de la bambouseraie d' Anduze.
Une cytise toute fleurie,elle aussi, leur a servi de nourriture
Un oranger du Mexique aussi etc etc

Bonne nuit caniculaire ( je ne sais si ce mot existe )

ce n'est pas de chance,

Bonne journée, essaie de mettre un texte,
je ne suis pas là de la journée.
Les filles sont malades.

Textes sur l'été 105352

Cleo a écrit:: Je n'ai pas encore essayé la tapette électrique.
Je dois avouer que les moustiques ne viennent pas chercher mon -mauvais sang-
Comme tu le dis si bien, difficile de les faire partir à la main ou des deux mains,
Si tu as trouvé l'arme fatale c'est très bien.

Ah oui, ça la raquette électrique, ne connait pas la "Convention de Genève", elle ne fait jamais de prisonnier, tout ennemi qui est visé en vient irrémédiablement et dans l'instant, à trépasser.

Quand je m'en vais arroser le soir, l'arme fatale m'accompagne, il est rare qu'elle ne crépite pas en produisant quelques petites étincelles.

Il arrive que cela sente bien le "tigre" grillé.

Ah pour ce qui est "cagaroulets", c'est encore à la seule arme de destruction de masse que l'on pourrait éventuellement espérer en venir à bout.

Hélas, ce genre de destruction massive se nomme "l'anti limaces" et en ce qui me concerne, je le proscrit totalement.
Trop de chats, trop de hérissons en ont été des collatérales victimes.

Invité

Oui ! ces produits sont néfastes et pour la nature et surtout pour les animaux.
Textes sur l'été 737867

Merci pour ces jolis partage Textes sur l'été 54468

Très beau aussi Karo !! ce sujet poésie est un enchantement !!
J' espère retrouver bientôt de l' inspiration pour écrire et créer, en ce moment tout ça est en berne !!
Mais merci à vous tous pour ces jolis poèmes !!!

Textes sur l'été 603329870

Bonjour à toutes

J'avoue, que oui, l'été, se déroule bien trop vite.
Et déjà, au solstice, on songe que demain, déjà les journées raccourcissent.
Les vagues de chaleur nous affalent, même l'ombre est presque lumineuse.
Les herbes surement deviennent de véritables paillassons, sèches et jaunâtres.
Déjà les fruits apparus de la fin du printemps disparaissent, leur succèdent abricots et pêches,
melons et nectarines, débordent de nectar en pleine bouche.
L'air en fin d'après-midi parfois vient à brasser les larges feuilles des figuiers,
desquels s'exhalent les premiers parfums des fruits à maturité.
Déjà le grand disque disparait beaucoup moins à l'Ouest, vers une ligne obscure vers laquelle il descend.
L'air brulant de la journée, devient plus lourd et plus humide.
La nuit obscure est déjà tombée.

Invité

Oui ! la fin de l'été sur la plage .... est presque fini.
Les jours raccourcissent
la lumière faiblit
la nuit nous embrasse
plus amollis

Prenons soin de nos futurs jours L'automne sera là avec d'autres couleurs, d'autres jours, que nous essaierons de mettre à profit.

Invité

Marie-Jo,

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